PADACHOU ♦ Ce n'est pas fini.

Matthew Sonny, Deegan
FEATURING Jared Padelcki

Brief Information
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COURTE HISTOIRE Au choix.
ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE 24 ans, le 12 Novembre 1985 à Cape Neddick
OCCUPATION La mécanique, l'alcool et le sexe. Et aussi les conneries.

LA REMISE DES DIPLÔMES.

C’était
la remise des diplômes. Je m’étais enfermée toute l’année dans les
cours. Je ne voulais rien voir d’autre. Ma meilleure amie était morte
et ma vie s’était arrêtée, elle avait pris un sens si différent moi qui
nous voyait encore finir comme les deux filles les plus populaires du
lycée et bien non. Je m’étais pendant un an enfermée dans une terrible
dépression et le seul imbécile avec lequel j’avais été capable d’en
parler c’était Matthew. Une espèce rare, qui à son âge buvait déjà
comme un trou et traitait les filles comme du betaille. Il m’avait
courtisait tout le long du secondaire, il était plus vieux d’une année,
il avait redoublé bien sûr. Lui son diplôme il s’en moquait totalement
voilà pourquoi il avait arrêté au bout de quelques mois lors de la
dernière année. Il était pourtant là le jour de la remise des diplôme
pour me voir. Je devais faire un discours, étant la chef des
cheerleaders. A la fin j’eu le droit à mon diplôme mais en sortant avec
mes parents, il était là devant à m’attendre. « Alors tu pars pour Sandford ? ».
Dit il sur un ton ironique. Je fis une bise à mes parents et leur fit
signe d’avancer. J’enlevais mon chapeau de graduation et dit : « Quoi ça te pose un problème ?! ». Il était appuyé sur un des murs de l’entrée du gymnase. « Oui je crois que ça devrait ! ». « Et pourquoi dis moi pourquoi ?! ». Il n’avait jamais dis ce qu’il ressentait et cela m’agaçait au plus au point. «
Si je suis là c’est pour que tu restes ! Tu crois que j’me fais chier à
venir ici pour le plaisir de voir des cons se promener dans des tenues
de pingouins. Regardes de quoi t’as l’air là dedans ! ». Je n’y croyais pas il était toujours aussi vulgaire et cela avait le don de m’énerver au plus au point : «
Tu m’énerves, tu deviens vulgaire c’est plus possible je pars tu veux
savoir parce que j’en peu plus à cause de toi …je pars loin de toi et
loin de nous tu comprends ! Restes avec ton alcool, tes filles et tes
saltés de voiture ! ». Je commençais à partir quand il me rattrapa par le bras : « Restes je vais m’améliorer je te le promets ! Epouses moi …! ». Je le regardais les yeux emplis de larmes et lui attrapa la main : « Je suis désolée…je ne peux pas… »Une larme coula sur ma joue et je partis sans me retourner.