Tine Hazilys -- fini

Tine Hazilys Mahault, Lefèvre
FEATURING EMILIE DE RAVIN

Brief Information

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PRÉNOM(S) Sa mère voulait la prénommée Sherridan, voulant ainsi faire honneur à ses origines américaines, mais son père ne voulait pas. Vivant en France à cette époque, ils ont réussi à se mettre d'accord pour des prénoms un peu hors du commun, mais qui avait un côté sentimental pour la famille Lefèvre. Tine lui viens d'une arrière-arrière-grande-tante qui à vécu à l'époque de Napoléon Bonaparte et qui avait eu une certaine renommée auprès de quelques comtes et ducs. Hazilys lui vient seulement d'une de ses arrière-grand-mère qui est décédée quelques temps avant sa naissance, mais à l'origine il s'écrivait Azilis. Pour Mahault, celà lui viens de la passion de son grand-père paternel pour l'histoire et surtout la vie d'Henri Ier qui était roi d'Angleterre.
NOM(S) Lefèvre. C'est un peu comme Martin en France, il y en a à presque tout les coins de rue, un peu comme les Smith en Amérique. Elle est fière de son nom de famille et ne le changerais pour rien au monde.
ORIGINES Son père est tout ce qu'il y a de plus français, elle même à vu le jour dans la grande ville de Rouen, en Normandie. Pour ce qui est de sa mère, celle-ci venait de New-York aux Etats-Unis, ce qui fait qu'elle a du sang américain dans les veines.
ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE Tine Hazilys à vingt-quatre ans et à vu le jour à Rouen, le dix-sept novembre mille neuf cent quatre vingt-cinq.
OCCUPATION La peinture et la photographie, c'est ses passions. Elle essaie d'en vivre même si ce n'est pas vraiment facile, il lui arrive de faire des photographies pour les reportages du petit journal de Cape Neddick, mais elle a aussi un petit job de serveuse dans le café de la petite ville.

Autobiography

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La neige tombait et je ne pouvais m’empêcher de laisser mon regard vagabonder sur le paysage qui commençait à blanchir, prenant un air féerique. Ici, tout semblait magnifique au contraire de certaines villes qui donnaient tout simplement envie de fuir. C’était étonnant que je me sente bien ici, mais le fait que je vive depuis que j’ai sept ans doit faire que je me soit attacher à cette petite ville au milieu de nulle part et où le soleil se montre rarement. Cape Neddick, c’est le seul endroit où rien en me fait penser à ma mère et j’en suis bien heureuse. J’ai mon père, ma belle-mère et sa fille. Ils sont les trois personnes en qui j’ai le plus confiance et je ne vois pas ma vie sans eux. Ils sont mon univers. C’est un peu étrange quand je dit que je préfère la nouvelle femme de mon père à celle qui m’a donner la vie il y a de cela maintenant près de vingt-cinq ans, mais je n’y peut rien. Si vous deviez faire un choix entre ange et démon, vous ne tourneriez certainement pas longtemps autour du pot. D’après ce que je sais, ma génitrice est née aux Etats-Unis, plus exactement à New-York dans une famille qui ne me manquait absolument de rien. Pour elle, la vie était rose bonbon avec des dorures jusque dans les toilettes. Elle n’était pas une élève sérieuse et à tout fait pour ne pas aller jusqu’à l’Université et à vingt ans, elle a fait son arrivée en France avant de s’installer à Rouen. Mon père avait vu le jour dans cette ville et était promu à un bel avenir avant qu’il ne croise le chemin de celle qui a tout fait basculer. Il venait tout juste d’avoir son baccalauréat et s’apprêtait à rentrer à la Sorbonne quand il est tomber sur elle, c’était au bord de la Seine. Elle était belle, américaine et portait un prénom qui l’avait longtemps laisser rêveur, Angel. Le coup de foudre, enfin, c’est ce qu’il croyait. Tout a été très vite entre eux d’après ce qu’il a pu m’en dire. Il l’a rapidement présenter à ses parents qui l’ont trouver adorable aux premiers abords avant de mieux la connaître, mais ils ne voulaient que le bonheur de leur fils. Mon grand-père est un industriel qui a une renommée qui n’est plus à faire en France et je pense que cela a pousser ma mère a rester avec son fils. Un peu moins de quatre mois après leur rencontre, elle leur annonçait avec un grand sourire qu’elle était enceinte et que la seule chose qu’elle attendait été un mariage. Ce fut le début de la fin pour mon pauvre père.

Il ne pouvait pas lui refuser et tout fut comme elle l’avait exigée, fait dans la démesure et le froufrou. A partir de ce jour-là, elle est devenue la pire des pestes et faisait tout pour que mon père s’énerve et explose. Il a tenu le coup car il le fallait, tout premièrement pour essayer de sauver son mariage, mais aussi car je n’allais pas tarder à venir au monde. D’après elle, j’allait être un garçon et il ne pouvait pas en être autrement. Richard aurait du être mon prénom, mais le jour de l’accouchement il ne fut plus vraiment d’actualité. Elle était plus que déçu alors que mon père était plus que fou de joie, il était celle que j’attendais. C’est sûrement le seul jour où il a eu un mot à dire dans leur mariage et je l’en remercierais jamais assez. Je préfère m’appeler Tine Hazilys plutôt que Sherridan, la France est mon pays et le restera très certainement jusqu’à ce que je quitte ce monde à jamais et le fait que cela se sente dans mon prénom est une sorte d’honneur. Tout a été très vite après, mon père a pris conscience qu’elle se fichait de lui et que plus rien ne pourrait changer cela. La seule solution était le divorce et il a rapidement tout pris en main pour reprendre sa vie. Il s'est battu comme un fou pour avoir ma garde et a du faire appel à ses propres parents pour payer celle qui se disait ma mère pour qu'elle ma laisse avec lui. Elle n'a pas chercher à retourner cela contre mon père, elle a juste pris le chèque, signer les papiers avant de partir sans même se retourner pour me prendre dans ses bras où me jurer qu'elle reviendrais. J'avais trois ans et depuis, je ne l'ai jamais revu même si j'entends souvent parler d'elle. Elle se serait à nouveau mariée et aurait eu le fils qu’elle attendait tant, mais cela n’a pas durer bien longtemps avant que l’autre homme ne voie réellement qui elle était. Après ces dires, je n’ai plus réellement entendu parler de ses frasques. La seule chose que je sais, c'est que je plains mon pauvre demi-frère, mais après tout il est peut-être comme elle, alors là j'ai mal pour les autres.

Mon père a rapidement repris ses études pendant que je restait à la garde de ma grand-mère qui vieillait sur moi comme-ci j'était la huitième merveille du monde. Au fond de moi, je la considère un peu comme la mère que je n'ai jamais eu et je ne la remercierais jamais assez pour ce qu'elle a fait pour nous. Une fois son diplôme d'architecte, mon père a décidé de changer d'air et c'est comme cela que nous avons atteri dans la petite ville de de Cape Neddick. Mon père y a ouvert un petit cabinet d'architecture, mais il y a aussi reconstruit sa vie. A vingt-six ans, il avait tout pour plaire et les femmes l'ont vite compris. Moi pendant ce temps, j'essayais de m'intégrer dans ce nouvel univers et dans ma nouvelle école où j'avais l'impression d'être une bête de foire. Je parlais l'anglais presque aussi bien que le français, mais j'avais un accent qui me faisait bien rire mes petits camarades de récréation. Heureusement, au bout d'un petit moi j'ai réussi à me faire une petite place et a me faire des amis qui aujourd'hui font toujours partie de ma vie. les quatre années qui ont suivi se sont déroulées à peu près de la même manière jusqu'à ce que mon père ramène une femme chez nous et me la présente comme son "amie". J'avais beau n'avoir que onze ans, je n'était pas totalement idiote. Bien entendu, j'était heureuse pour mon père, mais je ne pouvais pas m'empêcher de me montrer méfiante après ce que j'avais pu entendre sur ma mère. Je n'ai pas obligatoirement été une petite fille modèle quand elle venait chez nous, mais je voulais simplement la tester afin de voir si elle était à la hauteur de mon père. Et à mon grand bonheur, elle l'était. Après l'annonce officielle de leur relation, j'ai fait la rencontre de la fille de celle qui allait devenir ma belle-mère et à mes yeux, elle est devenue la petite soeur que je n'ai jamais eu la chance d'avoir.

Il n'y a pas eu de remariage, mon père ne croyant plus en cette institution sacré, mais à mes yeux ils étaient et sont encore le plus beau couple qu'il m'est été donner de croiser jusqu'à aujourd'hui. A vingt-cinq, je ne rêve plus que d'une chose, de vivre la même chose qu'eux.

And who am I?

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PRÉNOM ET PSEUDO Marine/Tehodie.
ÂGE Dix-huit ans.
COMMENTAIRES ET IMPRESSIONS? Le design est super et j'adore le contexte de ce forum. Bravo aux administrateurs.
MOT DE LA FIN, DÉFOULE-TOI! Rien à dire, c'est drôlement intéressant, mais c'est le cas.

J'hésite pour ce qui est de mon avatar entre Emilie de Ravin, Mélanie Laurent ou Katie McGrath et j'aimerais votre avis. Merci.

Je dirais Emilie, j'accroche pas trop à Mélanie Laurent et Katie McGrath est déjà réservée.
BIENVENUE, bon courage pour ta fiche.

Emilie de Ravin ou Mélanie Laurent étant donné que Katie est déjà prise (a)
mais je saurais vraiment pas te dire laquelle étant donné que j'aime les deux
peut-être une préférence pour Mélanie
BIENVENUE

Je vote Emilie.

Bienvenue.

Merci à tous pour votre accueil. Je vous remercie aussi de m'avoir donner votre avis, je penchais aussi pour Emilie, mais j'hésitais aussi avec Mélanie que j'adore réellement. Tout compte fait, je vais suivre la majorité.

Dans ce cas, bon choix, elle t'es réservée pour une semaine.

Ce n'est pas du grand art, je le conçois, mais l'inspiration est un peu aux abonnées absente aujourd'hui. S'il y a quoi que ce soit à changer, je le ferais.

VALIDÉE
Bienvenue parmi nous!

Merci.